Lettre Professeurs certifiés
Sans les professeurs certifiés, l’Éducation nationale ne pourrait fonctionner car ils forment le corps enseignant numériquement le plus important de l’Education nationale. C’est pour cela que le SNALC les a toujours défendus et les défendra encore.
La revalorisation salariale annoncée est loin d’être à la hauteur de l’inflation. La montagne a donc encore accouché d’une souris. Pour les professeurs certifiés, le SNALC réclame un rattrapage salarial sans contrepartie.
Quant au pacte, c’est une fausse-bonne idée pour gagner plus. Non seulement, il est hors de question pour les certifiés de « travailler plus pour perdre moins », selon Jean-Rémi Girard, le président du SNALC, mais en plus le pacte aura un impact négatif pour tous.
Il y a tout de même quelques bonnes nouvelles. Les collègues apprécieront la volonté du Ministère de tenir les épreuves de spécialité en juin, selon la demande du SNALC. Cependant, l’annonce du calendrier de l’année scolaire pose plusieurs problèmes.
Il était temps par ailleurs d’avoir une position ministérielle claire pour l’application parfois difficile par les professeurs de la loi du 15 mars 2004, sur les signes religieux ostensibles dans les établissements, en raison de la hausse des atteintes au principe de laïcité.
Pour vous défendre et vous accompagner chaque jour, vous pourrez compter sur le SNALC, son expérience syndicale, son indépendance, ses tarifs imbattables : le SNALC n’augmente pas les montants des cotisations pour la 13ème année consécutive. Et mieux encore : il les a baissés pour la plupart des professeurs certifiés !
Eugénie de Zutter,
responsable nationale du SNALC pour les professeurs certifiés
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