ÉDITO : LE PRIMAIRE BRÛLE
Une fois encore, une com’ assertive accouche d’une mise en œuvre aux fraises.
Entre le Gabriel Attal de novembre, dossier de presse à la main, éléments de langage à la bouche, et l’Amélie Oudéa-Castéra de janvier, lancée dans le grand bain sans flotteurs, la « priorité à l’éducation » et le « choc des savoirs » en ont pris un sacré coup dans l’aile. Et le premier degré, pourtant indispensable à l’acquisition des « fondamentaux » chers à notre gouvernement, a quasiment disparu des radars. Sauf chez la députée Rilhac, qui non contente d’avoir pondu une loi qui n’a aidé en rien les directions d’école, bien au contraire, veut remettre ça en faisant une nouvelle fois miroiter les décharges et l’aide administrative qu’elle a complètement échoué à nous apporter la fois précédente. [Lire la suite]