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Quinzaine Universitaire n° 1489 – école

Alors qu’il n’a généralement que les mots « gouvernance » et « pilotage » à la bouche, le ministère est dans un état de désordre rarement atteint. Et la politique menée s’en ressent.

Côté syndical, ce sont les réunions planifiées, reportées, annulées qui s’accumulent. Ce sont les ordres et les contre-ordres, comme dernièrement sur les heures supplémentaires. Ce sont les dossiers laissés en jachère, et soudain rouverts avec un calendrier intenable. Prenez la réforme du concours et de la formation initiale. Depuis novembre dernier, il ne s’est rien passé. Aucun retour sur les remontées faites par le SNALC. Et là, en 15 jours, sans documents, en n’ayant comme base de travail que la prise de notes que l’on fait à la volée de ce que dit la ministre, il faut conclure. Créer une nouvelle licence, un nouveau master, de nouvelles maquettes de concours, des parcours dérogatoires, des « ENSP » tout en maintenant les « INSPE » durant la transition… Tout ça pour (seulement en partie) défaire ce qui a été fait par Jean-Michel Blanquer cinq ans plus tôt, contre l’avis et les analyses du SNALC, d’ailleurs. Le tout en créant des voies sans issue à l’université, avec une licence de préparation au professorat des écoles (LPPE) qui aura du mal à mener à autre chose qu’au métier de PE. Et que se passe-t-il si l’on n’obtient pas le concours ? La question est ouverte… [Lire la suite]

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