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Quinzaine Universitaire n° 1501

Alors que l’Éducation nationale continue de s’enfoncer dans une crise durable, notre ministère doit devenir et rester une priorité budgétaire sur le long terme. C’est pourquoi le SNALC continue de revendiquer une loi de programmation pluri-annuelle afin d’y inscrire le nécessaire rattrapage salarial auquel nous avons droit. Les personnels enseignants, rappelons-le, connaissent un différentiel de 1 000 € mensuels en leur défaveur par rapport au reste des catégories A dans la fonction publique d’État. De même, nous ne pouvons continuer de sous-payer des métiers essentiels comme ceux d’AESH et d’AED.

Nos collègues ont besoin de métiers attractifs, et non de mesurettes qui les divisent ou, pire, d’effets d’annonce contre-productifs comme la prochaine convention citoyenne sur les temps de l’enfant, dont le SNALC demande la suspension. De même pour les assises de la santé scolaire, qui n’aideront en rien à recruter des personnels sociaux et de santé et à mieux les rémunérer. De même pour le nouveau socle commun, qui n’aidera en rien à améliorer l’École.

La politique du cache-misère ne coûte certes pas cher, mais elle n’améliore en rien notre système. Pire, elle rajoute des contraintes et fait perdre du temps à tout le monde.

Nous ne cesserons de le rappeler : les priorités pour le SNALC sont la rémunération de tous et les conditions de travail de tous. Le reste, c’est du vent.

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